Avant toute chose, construire un mur de clôture suppose de respecter la réglementation en vigueur (Plan Local d’Urbanisme PLU, règlement de copropriété et Code Civil). Ensuite, il s’agit de réunir les matériaux et outils adéquats pour le chantier et de procéder, étape par étape à son édifice. Bien sûr, vous pouvez aussi missionner Carole Germain, dans la région de Troyes, pour mener ces travaux et la laisser coordonner les artisans formés à l’élaboration d’un mur de clôture tendance !
La réglementation d’un mur de clôture
Avant d’élaborer le mur de clôture, pour se mettre à l’abri des regards indiscrets et/ou pour votre sécurité, il est indispensable de se rendre au service d’urbanisme de la commune. En effet, son PLU peut établir une réglementation, concernant le mur de clôture, extrêmement stricte, tant sur la hauteur, que la couleur et le choix des finitions. Par ailleurs, si votre maison appartient à une copropriété, il convient de consulter son règlement, pour connaître les exigences sur ce point précis.
Enfin, si le PLU et le règlement de copropriété ne soulèvent aucune exigence sur les murs de clôture, sachez que le Code Civil ne permet pas de l’élever au-delà d’une hauteur de 2,60 m de haut, dans une commune de moins de 50 000 habitants. Cette restriction s’étend à 3,20 m dans une ville de plus de 50 000 habitants.
À noter que si votre clôture est mitoyenne au terrain voisin ou si elle donne sur le domaine public, sachez que vous ne pouvez pas empiéter au-delà des limites de votre propriété, même de manière enterrée.
Dans tous les cas, veillez à obtenir les autorisations, pour un mur de clôture, avant de débuter le chantier : une déclaration préalable de travaux est obligatoire, pour une construction de plus de 2 mètres de hauteur.
Les étapes de construction d’un mur de clôture
En fonction des dimensions du mur de clôture, il vous faudra réunir les matériaux et la quantité appropriée pour chacun d’entre eux. Par exemple, pour la réalisation d’un mur en parpaing, il faut acheter le gravillon, pour le béton des fondations, le ciment gris, le sable à maçonner, des blocs creux, des blocs d’angle, du chaînage, pour fortifier le mur, des chevrons, de la semelle plate, etc.
Le prix du mur de clôture suppose aussi de réunir les outils, pour mener à bien cette opération : dans le cadre d’un mur en parpaing, une bétonnière, une pelle, une taloche, une truelle, une masse, une aiguille vibrante, deux seaux de maçon, un fil à plomb et un cordage nylon, sont nécessaires.
Ensuite, vous n’aurez plus qu’à suivre scrupuleusement les différentes étapes de construction du mur de clôture : creuser les fondations, couler la semelle de fondation, positionner le ferraillage horizontal et vertical, couler le béton de fondation, avant d’élever le mur. Dans l’exemple d’un mur en parpaing, il faudra préparer le mortier, délimiter physiquement le périmètre et les angles, déposer une première rangée de parpaings, avant de passer aux suivantes.
De la maîtrise de ces étapes dépendent la solidité et la durabilité de l’ouvrage. Pour des conseils sur la construction d’un mur de clôture, rapprochez-vous de Carole Germain, courtier en travaux La Maison des Travaux de Troyes.